× HOmE STuDIO    Equipment    Digital Media    License ARTISTS    L'accord acoustiq    More Artists ARCHIVE SToRE CONTACT
Sound Rêve Studio - Recording, Mix, mastering and more!

 

 

 

 

 

ARCHIVE


 

 

 

Togo-Jeunesse : Foly Satchivi demande une assise nationale tenant lieu de Constituante

ADRESSE À LA JEUNESSE TOGOLAISE

Il y a 140 ans, Ewé, Kabyè, Losso, Tems, Ouatchi, MOBA, Bassar, Ifè, Guins, Akposso, Anoufo et Tchamba furent sommés de vivre ensemble. On n’a pas jugé utile et nécessaire de recueillir leur consentement. Seule avait compté la volonté de l’homme blanc. De farouches résistances ont été naturellement enregistrées. Mais la puissance des canons et baïonnettes était telles qu’ils ne purent résister longtemps. Ils durent, à contrecoeur, se soumettre. C’est donc de cette imposition qu’est né cet État qu’il a été convenu d’appeler « TOGO ».

Nous étions ainsi mal partis. Les bases qui devraient sous-tendre cette fédération ont donc été faussées, ce qui, évidemment, n’était pas sans conséquence sur les luttes d’indépendance et de réunification des peuples qu’ont mené avec vaillance et abnégation Pa Augustino De Souza, Sylvanus Olympio et tous ceux qui ont fait don de leur vie et de tout ce qu’ils avaient de plus précieux.


L’histoire indique, en effet, qu’une partie de ceux qui peuplait, la bande de terre baptisé « TOGO » était foncièrement contre l’indépendance et la réunification de la partie sous commandement britannique à la partie régentée par les Français. Les raisons tiennent à ce péché originel et à la peur de voir l’éthnie majoritaire chipper toutes les postes de responsabilité. Quoiqu’il en fut, l’indépendance fut consommée.

Un autre péché allait, cependant, être commis par omission. On a, en effet, manqué de corriger la faute originelle. L’euphorie et les passions ont fait oublier l’essentiel. Cette situation eu pour corollaire de saper les bonnes idées conçues et courageusement mises en œuvre.

Le blanc n’ayant pas digéré l’affront qui lui fut fait a imaginé tous les scénarios pouvant lui permettre de revenir aux commandes. Il savait alors pouvoir naturellement s’appuyer sur le péché originel et les péchés qui s’y sont greffés. C’est ainsi que par la ruse, il reprit tout en main. Depuis, il n’a cessé de manipuler pour demeurer.

Chers congénères,
Notre histoire commune est jalonnée d’innombrables péchés. Outre les situations décrites plus haut, il a manqué à nos pères l’amour et le dépassement de soi.

La paranoïa, la peur d’un lendemain sans pouvoir et la conscience de leurs péchés pour ne pas dire de leurs crimes conduisirent Étienne GNASSINGBÉ EYADÉMA et ses amis à faire des choses horribles, odieuses et effroyables. Quand vint la conférence nationale souveraine, ils ont certainement cru pouvoir en tirer profit pour échapper aux conséquences charnelles de leurs mauvais actes. En face, le désir de vengeance était, malheureusement, très grande qu’il dû se rétracter. Il a manqué, à beaucoup de ceux qui s’étaient rassemblés au palais des congrès, les précieux césames qui manquaient à Eyadéma. L’Amour ne gouvernait pas les actions. Les passions diverses et justifiées avaient pris le pas sur la raison. On a, en effet, oublié que le lion même s’il s’était fait petit n’était, pour autant, pas devenu un chien. Les amis de l’opposition ne le comprendront qu’après mais il était déjà trop tard.

Depuis, la djangocratie s’est encore plus enracinée et déploie tous les arsenaux nécessaires à une conservation ad vitam aeternam du pouvoir et des privilèges afférents.

Aujourd’hui, l’espace publique est complètement fermé. Toute velléité de contestation ou d’opposition est violemment réprimée. Les institutions de contrôle sont devenues des maisons d’enregistrement et de retraite.
Le Togo est divisé en deux : Nous avons désormais le Togo des super-citoyens, à qui tout ou presque est permis et le Togo des citoyens de seconde zone à qui tout ou presque est refusé. Naturellement, le second n’acceptera jamais de laisser le premier jouïr tout seul des choses dont il a été privé alors qu’il en est également héritier.

Aujourd’hui, l’opposition, de l’entendement général, devrait, une fois le pouvoir acquis, peut importe les moyens utilisés, rendre à cette première catégorie la monnaie de leur pièce. Conscients des enjeux, la djangocratie s’échinent à pourrir la vie aux opposants et à toutes les voix dissonantes. Tout cela par manque d’amour les uns pour les autres.

Chers congénères,
On s’est trop fait mal dans ce rectangle. On ne peut plus continuer ainsi. Il est temps d’arrêter ce cycle. Mais seuls nous pouvons l’arrêter. C’est à raison que j’estime que seule la jeunesse pourra mettre fin à ces douleurs qu’on s’inflige, par manque d’amour les uns pour les autres.

Le Président Faure Gnassingbé et ses amis, ils ont le pouvoir d’arrêter tout ça. Mais aussi longtemps que rien de consistant ne les oblige, ils ne le feront pas. La situation actuelle, étant à leur profit.

Nos amis de l’opposition, eux aussi ne feront rien parce qu’il manque à beaucoup ce grain d’amour qui conduit à l’acceptation de l’autre et de ses défauts, à la tolérance, au pardon, à la réconciliation, au dépassement de soi et à la sauvegarde des intérêts de la nation.
L’Amour, c’est donc ce qui manque à tous. Il revient, aujourd’hui, à la jeunesse, dans son ensemble, d’amener les uns et les autres à comprendre qu’on ne peut plus continuer ainsi.

Oui, chers compatriotes,
On ne peut plus continuer par s’insulter, par se frapper, par se tuer, par se matraquer, par se torturer, par s’enfermer, par se mentir pour le pouvoir. Ce que les sud-africains ont fait hier, malgré les blessures béantes, les circatrices encore visible et les préjudices subis nous le pouvons aussi. C’est possible.

Aujourd’hui, à cause de la politique, des gens ne se parlent pas, des époux sont devenus chiens et chats. La marche du pays et tous les pays qui l’ont jalonné ont rendu les alliances difficiles voire impossible entre certains « peuples ». Les différences « ethniques » ont rendu les Togolais amères l’un à l’égard de l’autre. Des gens se détestent à mort. Un tour dans les plateaux fait ressortir clairement le drame cité. Tout bas des choses graves et terribles se disent. Ce n’est pas bon ça. Aujourd’hui, c’est calme. Rien ne brûle entre « Kabyè » et « Ewé», en particulier ou entre « ethnies » en général. Mais demain personnes ne sait. Si jusqu’alors nous avons été épargnés de certaines situations dramatiques c’est, en partie, grâce à la divine Providence. Mais pendant encore combien de temps ? 3 ans, 5 ans, 10 ans ?

Qu’on en vienne à se détester, à se haïr à ce point n’est pas bon. Qu’on en vienne à souhaiter la mort de l’un ou de l’autre n’est pas bon. Qu’on en vienne à penser prendre des armes pour se libérer de l’injustice et de l’arbitraire n’est pas bon. Qu’on en vienne à perdre confiance en la voie électorale n’est pas bon. Qu’on en vienne à interdire toute manifestation et à réduire au silence tout le monde n’est pas bon. On ne peut pas avancer comme ça. La question que tous, de l’opposition ou du pouvoir, devraient se poser est : Quel Togo voulons-nous laisser aux générations futures ? Un pays exsangue où règne méfiance, haine, peur et divisions profondes ? Un pays à la merci des convoitises impérialistes ? Un pays où vengeance se succèdent ? Quel pays voulons-nous réellement céder à nos fils, à nos filles, à nos successeurs ?
Il est temps d’y penser et d’y travailler.

Le Togo est une terre d’amour. Nous nous devons de répandre, partout, cet Amour. Aucune place ne doit plus être laissée à la haine immonde.

C’est donc dans cette optique, qu’après plusieurs mois de réflexion et de d’interrogation, nous avons décidé de consacrer nos prochains jours et semaines à deux choses simples mais très vitales pour la renaissance et la refondation de notre pays.

Humblement, nous demandons donc :

1- Une assise nationale tenant lieu de Constituante,

2- Une Amnistie générale. Celle-ci permettra alors aux uns et autres d’être libres de leurs mouvements, de revenir sans crainte dans leur pays qu’ils ont, pendant longtemps, quitté et de se redonner la chance d’avancer.

Nous mesurons la délicatesse de cette mission que nous nous sommes assignés dans cet océan d’incompréhensions, de malentendus, de rancunes, de haine, de vengeance et de cupidité. Nous sommes conscients de toutes les difficultés qui peuvent naître ou apparaître sur le chemin vers la refondation totale de notre pays mais restons sereins et imperturbables. L’histoire mondiale nous servira, en outre, d’appui.

Nous appelons, pour se faire, la jeunesse dans toutes ces composantes à s’associer à nous dans cette voie difficile mais salvatrice.

Ensemble, pour une nation libre et débarrassée de toute ses chaînes !

Foly SATCHIVI
--------------------------------------
Curieux vent de panique à Lomé II à la mort de l’alchimiste Debbasch

Charles Debbasch, constitutionnaliste français décédé le 08 janvier dernier vivait au Togo depuis une vingtaine d’années. Devenu citoyen togolais, il était le Conseiller juridique du feu président Eyadema, puis Conseiller spécial de son fils, Faure Gnassingbé, qu’il a justement aidé à tour de bras pour hériter du fauteuil présidentiel au décès du père en 2005. Appelé « médecin du droit », Charles Debbasch est l’un des personnages principaux de l’enracinement du régime de père au fils au Togo.
Le juriste mercenaire

Juriste émérite et homme de pouvoir, Charles Debbasch a été l’homme à penser de nombreux chef d’états africains. Au Maroc, il a participé à une équipe de juristes (1981 à 1985) chargé d’assurer la formation en droit du prince héritier et désormais roi Mohammed VI. On le retrouvera également en Côte d’Ivoire aux côtés des présidents Félix Houphouët-Boigny et Henri Konan Bédié.

A la fin des années 90, l’ex-doyen affiche sa proximité avec le président du Gabon, Omar Bongo et participe à la rédaction de la nouvelle constitution de la République du Congo. D’ailleurs, selon certaines informations, c’est l’ex président gabonais qui lui aurait facilité l’entrée dans l’entourage du général Eyadéma. Très vite, il va devenir un homme important du régime.

L’encre Debasch au Togo

Après les élections entachées de violences de 2005, Faure Gnassingbé, s’est empressé de nommer par décret Debbasch «conseiller spécial». Il était tout simplement l’un des ouvriers de l’accession à la magistrature suprême du fils à Eyadéma. « Il va contribuer à lever l’hypothèque de la limitation du nombre de mandats. Il fait modifier la Constitution -article 59 à l’époque- afin que Eyadema père puisse briguer un troisième bail… Et ensuite –et ça c’est l’un des épisodes à la fois les plus théâtraux et les plus révélateurs du rôle et de l’influence de Charles Debbasch– c’est lui qui orchestre la pantalonnade de la succession en 2005, au lendemain du décès de Gnassingbé Eyadema, puisqu’on s’en souvient peut-être, dès le lendemain du décès, il y a modification de la Constitution et du Code électoral », explique Vincent Hugeux, journaliste et auteur de l’essai «Tyrans d’Afrique, les mystères du despotisme postcolonial».

Agrégé de droit public, l’universitaire Charles Debbasch était prêt à assouvir l’appétit glouton du pouvoir de bon nombre de chefs d’Etats africains ainsi que celui de leurs descendants au détriment des aspirations des peuples. Même si Paris disait qu’il ne roulait que pour lui-même, l’homme a été vu « parfois partager la table du chef de poste de la DGSE (direction générale de la Sécurité extérieure), le service de renseignement extérieur de la France ». Il faut dire que Charles Debbasch avec son rang au sein du régime cinquantaine du Togo, « était pratiquement dans la tête des dirigeants du pays », affirme un observateur.

Le décès du gourou crée la panique

En effet, celui qui est surnommé dans l’entourage de Faure Gnassingbé le doyen est au courant de tout. Pour certains anciens caciques du régime, son rôle était même « envahissant ». «Nominations au gouvernement ou au Conseil constitutionnel, projets de loi ou décrets, tout devait être d’abord validé par Debbasch», témoignait Agbéyomé Kodjo dans le journal Libération du 18 février 2005.

De ce fait, le juriste français connaitrait bien de secrets de l’Etat togolais. Il n’est pas étonnant que sa maison à Lomé soit mise sous scellé dès son décès. « Dès l’annonce de son décès, des gendarmes sont allés chez lui pour saisir le matériel informatique et mettre sous scellé sa maison », ont rapporté plusieurs média. Contacté par Rfi, le procureur de la République a laissé entendre que la nécessité de mise sous scellé vient d’une procédure contre sa compagne qui vivait avec lui et de conclure : « je ne peux pas en dire plus ».

Mais selon plusieurs observateurs, la mise sous scellé du domicile du « doyen » ne serait qu’un moyen pour les autorités du pays « de s’emparer des dossiers sensibles et compromettants avant qu’ils ne tombent dans les mains de n’importe qui ». En novembre dernier, certaines informations ont fait état de l’opération en urgence d’une infection abdominale grave de Charles Debbasch au Centre Hospitalier Universitaire Sylvanus Olympio (CHU-SO). Et alors qu’il séjournait à l’hôpital, des individus supposés appartenir aux forces de défense et de sécurité seraient intervenus dans la maison une première fois. Ils auraient emporté certains documents.

De sources proches du pouvoir, il revient que « le vieux » avait pris soin de placer deux jeunes juristes français au service de Lomé quelques années plus tôt avant de passer au trépas. Mais ces jeunes mercenaires seront-ils à la hauteur de l’éminence de celui qui a été l’un des plus jeunes juristes agrégés de l’hexagone, surtout en ces moments ci où le régime de Faure Gnassingbé a décidé de ramer à contre courant de l’élan démocratique en cours sur le continent africain.

Source : FRATERNITE
------------------------------------
« Rôle » des Terroristes dans les coups d’Etat au Mali et au Burkina Faso


La stratégie d’usure suivie par les djihadistes au Sahel a été déterminante dans la chute en 18 mois de deux régimes élus, mais qui étaient affaiblis et discrédités, disent les experts.

« Nous sommes en train de subir de plein fouet la stratégie imposée par les groupes djihadistes », déclare Mahamoudou Savadogo, consultant burkinabè en sécurité. Comme au Mali en août 2020, des militaires ont renversé le président et pris le pouvoir lundi au Burkina Faso. Dans son premier communiqué, la junte a invoqué « l’incapacité manifeste du pouvoir » à faire face à la dégradation continue de la situation sécuritaire « qui menace les fondements mêmes de notre Nation ».

Montrant la voie un an et demi plus tôt, leurs homologues maliens justifiaient leur propre coup de force en dénonçant pêle-mêle corruption, « clientélisme », « arbitraire », faillite de l’Etat et inaptitude face au terrorisme et au banditisme. « Le Mali sombre de jour en jour dans le chaos, l’anarchie et l’insécurité par la faute des hommes chargés de sa destinée », disaient-ils.

Exaspération

Putschistes burkinabè et maliens ont en commun l’exaspération devant l’impuissance des dirigeants en place face aux djihadistes, malgré le déploiement de forces françaises, onusiennes et africaines, et le soutien financier international.

Partie du nord du Mali en 2012, la poussée djihadiste a atteint le centre, puis les pays voisins. Les groupes affiliés à Al-Qaïda et à l’organisation Etat islamique sont présents désormais sur de larges parties du Burkina Faso, au Niger et dans le nord des pays côtiers d’Afrique de l’Ouest.

Avec des visions différentes d’emprise locale sous la loi islamique ou d’instauration d’un califat selon leur affiliation, les groupes armés, rivaux entre eux, s’en prennent à tout ce qui représente l’Etat et la présence étrangère, infligeant de lourdes pertes à des armées nationales sous-équipées et attaquant leurs alliés. Ils imposent leurs règles sur des étendues grandissantes. L’International Crisis Group (ICG) décrit la présence d’Al-Qaïda comme forte dans le nord du Mali, hégémonique par endroits.

Coercition

En brousse, par la coercition ou le ralliement et en l’absence de l’Etat, des populations parmi les plus pauvres du monde se rendent à la cause de djihadistes qui prélèvent l’impôt, rendent la justice et prodiguent les soins.Mahamoudou Savadogo parle de « stratégie à l’usure ». Elle consiste, dit-il, à « être patients, semer les graines de la division, déstructurer notre système politique et déstabiliser » l’ordre social.

« Sous nos yeux, les terroristes, partout au Sahel, sont en train de triompher », a posté sur les réseaux sociaux le patron de presse ivoirien Tiémoko Assalé, dont le pays est menacé de contagion. « Le choc provoqué par ces tueries dans le peuple et dans les rangs de l’armée fait le reste », pour in fine « créer la guerre de tous contre tous », affirme-t-il.

Les forces armées, présentes dans les villes, sortent de moins en moins, abandonnant la brousse aux groupes armés. Des bases rurales comme Indelimane (nord du Mali) ou Koutougou (nord du Burkina Faso) sont encore vides deux ans après avoir été attaquées.

Situation militaire

La situation militaire, conjuguée selon le chercheur malien Boubacar Haidara à une mauvaise gouvernance et à une corruption répandue, a creusé un fossé entre les dirigeants civils et leur peuple, militaires compris.

Le point de non-retour au Burkina Faso a été atteint en novembre avec l’attaque d’Inata dans le nord, quand 57 personnes, dont 53 gendarmes, ont été massacrées, selon les experts.Une note interne, qui avait fuité quelques jours après, avait révélé que les soldats n’étaient plus ravitaillés en nourriture.

Les militaires qui ont pris le pouvoir au Mali et au Burkina Faso entendent reprendre le contrôle. Seuls aux commandes, ils ont « tous les moyens pour adopter la stratégie qu’ils estiment la plus efficace pour renverser la tendance », dit le chercheur d’Amnesty International Ousmane Diallo. Mais « s’ils ne réussissent pas, que se passera-t-il ? », demande-t-il.

Dialogue avec les terroristes

Au Mali, les attaques contre les forces de sécurité semblent s’être faites plus rares, sans que les causes apparaissent clairement : efficacité des opérations dirigées par la junte, effet de l’élimination de leaders djihadistes par les forces françaises, attentisme djihadiste ? La junte revendique presque quotidiennement ses succès sur le terrain, difficilement vérifiables.

Au bout du compte, la question épineuse du dialogue avec les djihadistes devrait se poser. La junte elle-même s’y est dite ouverte, mais le sujet a été relégué au second plan récemment.

Dans un message diffusé après la prise du pouvoir par les talibans en Afghanistan en août 2021, Iyad Ag Ghaly, chef du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans, nébuleuse sahélienne d’Al-Qaïda, saluait la « patience » des « frères » d’Afghanistan, qui avaient mis fin à 20 ans de présence militaire étrangère. Il encourageait les djihadistes sahéliens à prendre exemple.

Source : Africanews +AFP

 

 

Togo-Jeunesse : Foly Satchivi demande une assise nationale tenant lieu de Constituante